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[[Catégorie:Lectures de pirate]]
À la proposition (une nouvelle fois) de Didier, que je remercie, voici ma lecture de [https://www.franceculture.fr/emissions/culturesmonde/pirates-44-partis-pirates-du-reboot-politique-au-desenchantement Partis pirates : du reboot politique au désenchantement (franceculture)].
À la proposition (une nouvelle fois) de Didier, que je remercie, voici ma lecture de [https://www.franceculture.fr/emissions/culturesmonde/pirates-44-partis-pirates-du-reboot-politique-au-desenchantement Partis pirates : du reboot politique au désenchantement (franceculture)].



Version actuelle datée du 14 janvier 2017 à 16:11


À la proposition (une nouvelle fois) de Didier, que je remercie, voici ma lecture de Partis pirates : du reboot politique au désenchantement (franceculture).

S'agissant d'une bande son, je relèverai tant que possible le minutage. (pour l'instant c'est surtout un dépôt de prise de notes)

12/13/18-19ème minute : "Le positionnement sur l'échiquier politique des pirates ?" Halldóra Mogensen "Nous ne sommes vraiment pas un parti de gauche." ? Je serais curieux d'entendre se définir comme de droite le PP-fr. (?!) Une des raisons de mon adhésion au PP, outre la question numérique et le questionnement de nos institution démocratique, était la recherche d'une sortie des systèmes de rentes et donc de fait de la propriété lucrative. Et même lorsque j'étais parfois pris de doute sur la communauté, il arrivait qu'un message d'un pirate me rappel à ce motif

ex: [PP-discussions] Si on vous demande "Pourquoi Pirate" : Johndifool via lists.partipirate.org 18/08/2016 "Dossier dans le dernier Ça M’INTÉRESSE. "Saviez-vous qu’au XVIIIe siècle, les pirates appliquaient la sécurité sociale, la démocratie participative et l’égalité des sexes ?"
Révolutionnaires anticapitaliste ?".

Alors je sais que c'est clivant au PP (le déroulement sur la DPG de la question le fait bien sentir). Mais trouver un modèle pour trancher des positions sans ambiguïté me paraît nécessaire. Sur ce clivage, combien de pirate de chaque côté ?

13ème minute : également la difficulté d'être un acteur critique (travail avec les associations) et d'être un acteur du jeu politique avec (dans le système actuel) les jeux d'alliances. 36ème minute +1 sur l'apparence de paradoxe (un parti pour ne plus avoir de parti). 17ème minute : les changements systémiques ; la volonté de mise en place d'une nouvelle constitution et son 'enterrement' par le gouvernement. Cette question doit certainement être à la base d'une réflexion Islandaise comme Française et pour bien d'autre nation : 'Comment dépasser / changer une constitution en profondeur ?' Je suis curieux de connaître l'état d'esprit des Islandais sur ce point. Un mouvement social là-bas pourrait-il faire ressortir le projet constitutionnel des cartons ?

24ème minute : où le seuil de désespoir pour tenter autre chose en politique ; Les projets/valeurs pirates peuvent-ils/elles émerger d'une population en désespoir. J'aurai tendance à penser que nos mouvement doivent être l'espoir et non pas le vautour qui se nourri de son absence.

~27 : Démocratie liquide et stabilité gouvernementale. Il me semble qu'il faut pour proposer outre des modèles de décision alternatifs, les horizons temporels et thématiques auxquels ils sont attachés.

30 : openwashing -> [1] ; COP21 de la démocratie, PGO [www.april.org/files/20161205-article-pgo.pdf Le « gouvernement ouvert » à la française : un leurre ?]. (au passage, merci à vous April, BLOOM, DemocracyOS France, Fais ta loi, Framasoft, La Quadrature du Net, [http://www.ldh-france.org/ Ligue des Droits de l’Homme], http://regardscitoyens.org/ Regards Citoyens], République citoyenne, SavoirsCom1)

33ème minute : Transformation de l'intérieur et révolution hors du système des partis politiques (//13ème minute). L'image guerrière de la révolution me désole un peu ("coup d'état ; violence ; couper des têtes"). C'est faire obstacle à celle-ci de ne considérer la révolution que par les armes. C'est aussi oublier la violence de l'état actuel de nos gouvernements. (Morts de la rue ; trous de balles ; les flics...)

38, mais déjà à ~5 (panama papers & exécutif en Islande) : l'exemple est celui-là même à employer pour souligner que la transparence n'est pas un absolu. Il y a eu démission après l'acte, par la présence de la transparence. Nécessaire donc, mais pas suffisante pour empêcher la corruption, la transparence doit être complété par d'autres éléments structurels.

52ème : Politique post-vérité. Comment Sarkozy (et les autres) détournent l'Histoire - Veni Vidi Sensi #9, Récupérations politiques de l’Histoire : Asselineau, un cas d’école

rq mineurs:

10ème minute : Sanctuaire des lanceurs d'alerte. Une étude de ça part d'autres camarades ?